Frequently asked questions
CAPPE , fréquent dans le Nord-Pas-de-Calais (ainsi que dans l'Aisne et l'Yonne), a dû désigner le porteur d'une cape (également écrit "chape". Il s'agissait d'un manteau, du latin cappa = capuchon). Ce patronyme pouvait aussi s'appliquer à un artisan confectionnant des capes.
Variantes :
CAP, CAPE, CAPS
Origine de la branche
- Jean Baptiste CAPPE (génération 4) est cité dans plusieurs actes intéressant les enfants et petits-enfants du couple Jean CAPPE‑Marie FAUQUEUR. Compte tenu de l'écart d'âge de ces derniers (20 ans selon leurs âges à leurs décès), on peut en déduire que Jean Baptiste CAPPE est issu d'une première union de Jean CAPPE avec Isbergue GRISELAIN. Ce fait est confirmé par son contrat de mariage du 20/06/1679. Dans ce contrat de mariage, est évoqué son cousin, Pierre QUENIVET. Il peut s'agir de Pierre QUENIVET époux de Louise VIGNACOURT, ou de leur fils.
- Dans son testament, Anne CAPPE, religieuse à Aire-sur-la-Lys, fait un don aux enfants de Louise VIGNACOURT, sa nièce, et à Jean François QUENIVET, fils de Anne CAPPE, sa nièce. On en conclut que Anne CAPPE et Louise VIGNACOURT sont cousines.
- Selon les actes de leurs baptêmes respectifs, Louise VIGNACOURT est la fille du couple Antoine VIGNACOURT‑Jeanne CAPPE et Anne CAPPE est la fille de Pierre et Marie DOUZINEL.
- Jean CAPPE, père de Jean Baptiste (§1) serait donc le frère (ou le demi-frère) de Anne CAPPE, puisque le fils de Jean est cousin avec le fils de Louise VIGNACOURT. La mère de Jean CAPPE est inconnue (Il est peu probable qu'il s'agisse de Marie DOUZINEL).
- On sait par son testament que Anne CAPPE (§2) est la fille du couple Pierre CAPPE‑Jeanne VŒUGLAIRE. Pierre CAPPE, époux de Marie DOUZINEL, et Jeanne CAPPE, épouse de Antoine VIGNACOURT, sont donc ses frère et sœur.
Philippe CAPPE (1663-1733) et Marie BAUCHET (1658-1743)
Philippe CAPPE (génération 4) est aussi prénommé Philippe Robert. Ce second prénom n'est jamais employé de son vivant et n'apparait que deux fois dans les actes où il est mentionné. Il ne figure pas plus dans les signatures de l'intéressé, et n'a pas été retenu.
Selon toute vraisemblance, Marie BAUCHET est la fille de Pierre BAUCHET et de Marie PERON. Cependant, aucun acte ne mentionne cette filiation.
Jean-Baptiste CAPPE (génération 5) né le 22/01/1691 à Roquetoire.
Lors du mariage de son fils, Jean-Baptiste, le 26/01/1747 avec Marie Thérèse Joseph SIMON, sont présents comme témoins les deux oncles de l'époux, de Pierre et (Philippe) Dominique CAPPE. L'époux est fils de Jean-Baptiste et de Marie Marguerite BOUCHIQUET (plusieurs variantes orthographiques), baptisé à Blaringhem le 06/02/1724.
Le premier enfant du couple CAPPE x SIMON, est Scolastique Joseph, née le 14/11/1747 à Blaringhem, dont la marraine est la sœur du père, Marie Thérèse Joseph CAPPE.
On trouve le décès de celle-ci à Saint-Omer (paroisse Saint-Denis) le 28/02/1768, âgée de 50 ans environ. Sont présents à l'inhumation Jean-Baptiste, son frère dit germain (certainemment erroné) et son cousin, François Joseph DORMION.
Le 20/04/1732 décède à Roquetoire Marie Anne Joseph CAPPE, fille des défunts Jean-Baptiste et de Marie Jacqueline DORMION. Présent à son inhumation Philippe CAPPE. Le seul individu de ce nom, à cette époque, est son grand-père.
D'après ces éléments, il semble que Jean Baptiste CAPPE se soit marié une première fois avec Marie Jacqueline DORMION, avec laquelle il a eu au moins 2 enfants (Marie Thérèse Joseph et Marie Anne Joseph) et une seconde fois avec Marie Marguerite BOUCHIQUET avec laquelle il aurait eu 4 enfants, dont Jean-Baptiste, époux de Marie Thérèse Joseph SIMON. Aucune archive ne permet de confirmer ou de réfuter cette hypothèse.
Ce qui précède permet de déduire que :
- Le mariage de Jean-Baptiste CAPPE et de Marie Jacqueline DORMION a été célébré peu avant 1719.
- Marie Jacqueline DORMION est décédée entre 1720 et 1724.
- Le mariage de Jean-Baptiste CAPPE et de Marie Marguerite BOUCHIQUET a eu lieu peu de temps avant le 6 février 1724.
- Jean-Baptiste CAPPE est décédé entre le 1/12/1729 et le 20/4/1732.
- Marie Marguerite BOUCHIQUET est décédée entre le 1/12/1729 et le 26/01/1747.
On ne sait pas ce qu'il advint des sœurs cadettes de Jean-Baptiste (filles de Jean-Baptiste et de Marie Marguerite BOUCHIQUET).
En région parisienne, la famille Cappe en 1945

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BREBION est un diminutif du mot brebis. Son origine est une métaphore évoquant la douceur ou une métonymie renvoyant à un gardien de brebis. Les BREBION sont plus de 4 000 aujourd'hui en France. Leurs trois premiers départements d'implantation sont le Pas‑de‑Calais, la Seine‑Maritime et le Nord. Cependant, mes recherches sont localisées principalement dans la Sarthe et, plus généralement, dans le Perche.
Variantes :
BERBION, BOURBION, BROUBION
Origine de la branche
La reconstitution des familles JEUDON de Champagné n'est pas simple :
- Les registres commencent en 1669, alors que de nombreuses personnes portent ce patronyme à cette époque.
- Les décès d'enfants en bas âge ne font pas l'objet d'acte de sépulture.
- Jusque dans les années 1750, les âges mentionnés dans les actes d'inhumation sont très approximatifs.
- Il y a de nombreux homonymes, et les deuxièmes prénoms sont souvent omis.
- Et, surtout, les actes ne sont pas filiatifs.
Il est possible de déterminer que Mathurin JEUDON (†1697), René JEUDON (†1682), Michel JEUDON époux de Claudine GUIBERT et Julien JEUDON (†1708) sont de la même famille. Certains de leurs descendants ont besoin de dispenses de consanguinité pour se marier et différents liens familiaux évoqués dans des actes le confirme. En revanche, impossible de déterminer avec certitude s'ils sont frères, demi‑frères ou cousins.
A en croire les actes disponibles, il est peu probable que Mathurin JEUDON veuf de Julienne BOISSEAU se soit remarié avec Estiennette SALLE, hypothèse souvent rencontrée sur geneanet. Ses enfants, nés à partir de 1673, porteraient les mêmes prénoms que ceux de son premier mariage, toujours en vie à cette époque. Plus certainement, ce Mathurin JEUDON s'est remarié avec Jacquine JEUDON et est le père de Mathurin JEUDON , époux de Estiennette SALLE.
Cette hypothèse est confirmée à plusieurs reprises, la plus probante étant la dispense au 4e degré de consanguinité nécessaire au mariage de François JEUDON, fils de Mathurin et de Estiennette SALLE, avec Marie GUYET, le 06/02/1720. Cette dispense est relative à la branche BOISSEAU.
ROQUAIN est un nom de famille dérivé de roque, forme méridionale de roche. Le nom topographique désignait un endroit rocheux. Par extension, surnom de celui qui habitait un endroit rocheux.
Variantes :
ROCQUAIN, ROQUIN, ROCAIN, ROCHAIN, ROCHIN, RAUQUIN
Un individu nommé ROQUAIN dont j'ignore le prénom est mon Sosa à la 14e génération. Il a deux enfants connus, lesquels sont tous les deux mes ascendants par la branche ROQUAIN et par la branche CHESNEAU. Sa descendance publiée sur ce site comporte environ 2200 personnes. Voir à ce sujet le menu "Arbres narratifs".
Anecdotes :
- Anne CHESNEAU (1825-1902) est déclarée décédée le jour de sa naissance, n'ayant vécu qu'une heure. Un acte de décès a été rédigé à ce sujet. Cela ne l'a pas empêché de se marier à l'âge de 34 ans ! Elle apparait dans plusieurs branches de cette généalogie.
- Anne Zoé LEROUX (1853 - ) est issue d'une naissance de triplés. Elle seule atteint l'âge adulte.
- Julien Louis LEROUX (1868 - ) devient père à 14 ans 5 mois et 5 jours, approximativement 6 ans avant son mariage. Pour autant, il n'est pas le plus jeune père recensé dans cette généalogie. Il est le cousin germain de Anne Zoé.
- François BUSSON et Marie Louise GUILLOINNEAU, un couple du Loir‑et‑Cher, ont trois fois des jumeaux (1855, 1864, 1867). Deux enfants sur six atteignent l'âge adulte.
- La famille IGIER fait partie de la communauté des gens du voyage. Deux enfants décédés en bas âge furent déclarés insoumis.
CHESNEAU , dérivé de Chesne (= le chêne), toponyme évoquant un bois de chênes. Les noms de famille désignent celui qui habite un lieu-dit le Chesnot, le Chesneau etc...
Variantes :
CHESNEAUX, CHENEAU(X), CHENAU(X), CHENOT
Origine de la branche
La branche est reconstituée en supposant que les parrains et marraines des enfants sont leurs oncles et tantes. Toutes les personnes de la génération II sont citées dans les actes de baptêmes d'un neveu ou d'une nièce. A plusieurs reprises Rolande CHESNEAU est dite fille de Estienne. Cette branche est à rapprocher de la branche ROQUAIN (voir ci-dessus).
Concernant Christophe CHESNEAU, des généalogistes lui attribuent un second mariage avec une Marie MILLOY dont il aurait eu plusieurs enfants, notamment un né en 1614. C'est improbable, sauf bigamie. Sa première épouse, Charlotte ROQUAIN, est décédée en 1639. On sait que c'est sa première épouse puisque Estienne, leur fils, est né en 1608.
Plus certainement, les "Christophe CHESNEAU" sont deux personnes différentes. Hypothèse confirmée par leurs décès l'un en 1630 au Luart, l'autre en 1633 à Saint-Michel-de-Chavaignes.
La seconde union de Estienne CHESNEAU avec Marguerite PASQUIER est supposée. Aucun acte ne permet de la confirmer.
Famille LEVRAY - JOURNET
Difficile de reconstituer cette famille à son début du fait des actes contradictoires que l'on retrouve :
- Il existe un décès d'un François LEVRAY en 1794 (An II), mais François LEVRAY, né en 1789, est cité dans l'acte de naissance d'une de ses nièces. Il n'est donc pas décédé avant 1817.
- Françoise LEVRAY, est décédée en 1792, âgée de un an. Mais en 1791 est seulement née Louise, sa sœur.
- Louise, d'après son acte de décès de 1874, serait née le 16 avril 1789. Mais, cette année là est né son frère François. Sa date de naissance probable est le 16 avril 1791. Mais, dans ce cas, à quelle date est née Françoise, décédée à un an ?
Il est possible que Françoise et Louise soient jumelles, l'acte de baptême concernant Louise n'étant que pour moitié visible. Toutefois cela n'explique pas le décès de François.
- Il existe deux cas de triplés dans cette publication :
- les premiers enfants de Gilles François PAILLEUX et Rosalie GENEL (branche PAILLEUX - Pas‑de‑Calais), nés en août 1766, lesquels n'ont pas vécu. Ce couple a eu au moins 13 enfants.
- Les filles de Jean BIZERAY et Louise ALLARD (branche ALLARD - Sarthe), nées en 1733 et qui ne vécurent que 2 jours. A noter que Louise ALLARD s'est mariée trois fois et eût 17 enfants avec son premier mari. On peut supposer qu'elle était très résistante pour l'époque puisqu'elle décéda à l'âge de 80 ans.
- Quatre individus figurant dans cette généalogie ont été condamnés au bagne. Voir cette liste. Deux y sont décédés et font l'objet d'une histoire (voir ce menu). Deux autres, un oncle, Clément DUVAL, et son neveu, Eugène Henri GOUVENAUX, se sont évadés. L'oncle, un anarchiste, n'a jamais été repris. Il figure dans les favoris de la page d'accueil. Son neveu s'est évadé deux jours avant lui, mais a été repris. Il s'est évadé une seconde fois. On perd sa trace à partir de ce moment.
- Pierre Joseph VIVIER (Branche MARINEAU - Sarthe), fils de sabotier né en 1809 au Mans, commença sa carrière professionnelle comme employé au cadastre. Il devint agent voyer (de voierie), puis est dit architecte et ingénieur. Ses 3 fils ont suivi ses traces. L'ainé, décédé à 15 ans, était encore étudiant. Le second, décédé à 22 ans, était étudiant à l'école polytechnique. Le dernier, décédé à 30 ans, fut, lui aussi, élève de l'école polytechnique. Il fut directeur de la poudrerie de Saint‑Médard‑en‑Jalles (33).
- S'il n'est pas rare que deux frères épousent deux sœurs, trois mariages de ce type sont moins fréquents. C'est le cas des sœurs BECLIN (Branche CADART - Pas‑de‑Calais), Marie Florentine Joseph, Suzanne Rose et Marie Sophie Joseph qui ont chacune épousé un des frères DECROIX en 1807 et 1820.
- Louis Honoré PAPILLON (Branche MARINEAU - Sarthe), ouvrier verrier né en 1853 à Coudrecieux, épouse Elise Léopoldine VADE à Sars-Poteries (59), lieu où un musée est consacré à la verrerie (site). Elise Léopoldine, fille d'un ouvrier verrier, était née dans un petit village de l'Orne.
Force est de constater que la mobilité professionnelle existait déjà au 19e siècle. - Edmond Henri Louis CAPPE (mon grand-père paternel) n'a pas de cousin germain issu de sa branche paternelle. Sur ses 6 oncles et tantes, 3 ont très peu vécu, les 3 autres sont décédés célibataires, sans postérité connue.
Se sont marié au moins 5 fois :
- Guillaume LELEU (Branche LAY - Pas‑de‑Calais). Ses deux premières unions sont évoquées dans l'acte de son 5e mariage avec Marie Jeanne FOURIERE en 1725.
- Marie CHESNEAU (Branche CHESNEAU - Sarthe) en 1718, 1721, 1730, 1744, 1748.
- René ROBERT (Branche ROBERT - Sarthe) en 1724, 1739, 1740, 1748, 1753
- Jean BEAUNEE (Branche BEAUNEE - Sarthe) en 1757, 1763, 1767, 1769, 1775. Il avait 48 ans lors du décès de sa 5e épouse. La date de son décès étant inconnue, il s'est peut-être de nouveau marié.
Se sont aussi mariés 5 fois :
- Joseph CROISEAU, époux de Louise LUARD (Branche LOISON - Sarthe).
- Gilles SAUSSEREAU, époux de Catherine PICHOT (Branche SAUSSEREAU - Sarthe).
- Marguerite TRAVERS, épouse de Julien ALLARD (Branche ALLARD - Sarthe).
Manouvrier | Agriculteur qui travaille de ses mains (du latin manus : main et operarius : ouvrier), faute de posséder son attelage. Terme essentiellement utilisé dans le nord de la France. Sens équivalent à brassier, laboureur à bras, travailleur, journalier. | Sud de la France : Brassier, travailleur. Alsace : Pionnier. |
Journalier | Ouvrier agricole, manouvrier employé dans les champs à la demande, à la journée. Terme essentiellement utilisé après la Révolution et dont le sens équivaut à laboureur à bras, travailleur, manouvrier, brassier. | Normandie : Journayeur. Berri : Manouvrion. |
Bordager | Agriculteur exploitant le domaine (dit borderie) d’un tiers avec lequel il partage les frais et les revenus. Une borderie est généralement moins étendue qu’une métairie. | Souvent utilisé en Sarthe. |
Métayer | Agriculteur exploitant le domaine (dit métairie) d’un tiers avec lequel il partage les frais et les revenus. Les termes de l’exploitation sont définis par un contrat de métayage passé devant notaire et valable plusieurs années (généralement quatre à cinq). Le propriétaire met à disposition ses terres et bâtis, une partie des semences, du bétail et de l’outillage, et reçoit en contrepartie une part des récoltes (qui fluctue du tiers à la moitié en fonction de la participation initiale de part et d’autre). On parle de bail à fruits puisque le fruit de la récolte est partagé entre les parties. Le contrat de métayage peut comporter quelques clauses supplémentaires : Entretien des bâtiments ou de l’outillage, paiement de redevances, etc. Ce type d’accord permet à un paysan pauvre, dépourvu de terres, d’exploiter une installation durant plusieurs années et donc de se fixer, contrairement à un journalier qui vaque de domaine en domaine et dépend des besoins en main d’oeuvre. Dans le cadre du métayage, l’investissement initial (en grains, bétail et outillage), mais aussi les risques comme les bénéfices liés aux récoltes, sont partagés entre les parties, contrairement au fermage. | Midi de la France : Mestadier. Gascogne : Colon. Dauphiné, Bourgogne : Granger. Centre, Massif Central : Locatier. Sarthe : Closier. |
Ménager | Propriétaire d’une petite exploitation agricole (inférieure à 20 hectares). | |
Fermier | Agriculteur exploitant le domaine d’un tiers dans le cadre d’un bail à ferme, conclu devant notaire et valable plusieurs années (généralement quatre à cinq). Le propriétaire cède, moyennant la perception d’un loyer fixe en argent, l’exploitation de ses terres au fermier qui se réserve la récolte. C’est ce qui différencie le fermage du métayage pour lequel la part revenant au propriétaire est en nature et où risques et profits sont partagés entre les parties. Si la récolte est abondante, le fermier est avantagé, sinon, c’est le propriétaire. | |
Laboureur | Paysan aisé propriétaire d’au moins un animal de trait (boeuf, cheval ou mulet) et généralement de son exploitation. | |
Cultivateur | Terme utilisé à partir de la fin du XVIIIe siècle pour désigner un agriculteur. Il n’est généralement pas propriétaire de son exploitation, sinon il est précisé cultivateur propriétaire ou propriétaire. |
Source : Revue française de généalogie
Je me suis attribué le n° de Sosa 1. Les numéros mentionnés ça et là en découlent.
Gén. 1 |
Gén. 2 |
Gén. 3 |
Gén. 4 |
Gén. 5 |
Gén. 6 |
Gén. 7 |
Gén. 8 |
Gén. 9 |
Gén. 10 |
Gén. 11 |
Gén. 12 |
Gén. 13 |
Gén. 14 |
Gén. 15 |
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Sosa | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° | N° |
1 | 2 Père |
4 Grand‑père paternel |
8 à 9 |
16 à 19 |
32 à 39 |
64 à 79 |
128 à 159 |
256 à 319 |
512 à 639 |
1024 à 1279 |
2048 à 2559 |
4096 à 5119 |
8192 à 10239 |
16384 à 20479 |
5 Grand‑mère paternelle |
10 à 11 |
20 à 23 |
40 à 47 |
80 à 95 |
160 à 191 |
320 à 383 |
640 à 767 |
1280 à 1535 |
2560 à 3071 |
5120 à 6143 |
10240 à 12287 |
20280 à 24575 |
||
3 Mère |
6 Grand‑père maternel |
12 à 13 |
24 à 27 |
48 à 55 |
96 à 111 |
192 à 223 |
384 à 447 |
768 à 895 |
1536 à 1791 |
3072 à 3583 |
6144 à 7167 |
12288 à 14335 |
24576 à 28671 |
|
7 Grand‑mère maternelle |
14 à 15 |
28 à 31 |
56 à 63 |
112 à 127 |
224 à 255 |
448 à 511 |
896 à 1023 |
1792 à 2047 |
3584 à 4095 |
7168 à 8191 |
14336 à 16383 |
28672 à 32767 |
Vidéo sur la genèse des cartes de(s) Cassini